a ensuite indiqué que le rapport comportait sept parties concernant l'amélioration du cadre de vie dans les quartiers en difficulté, la réponse à apporter aux besoins prioritaires d'éducation, la politique de l'emploi, le rétablissement de la sécurité, la cohésion sociale, le volet budgétaire et financier de la politique de la ville et, enfin, la nécessaire évolution institutionnelle de cette politique. La première partie rappelle les efforts menés en faveur de la rénovation urbaine, qui doivent être poursuivis et amplifiés en garantissant le financement du programme national de rénovation urbaine et l'accélération de sa mise en oeuvre. Ceci suppose une association plus étroite des habitants aux projets de rénovation urbaine et des actions préventives pour éviter la dégradation des copropriétés privées. Elle traite ensuite de la nécessité de retisser la trame urbaine, cet objectif passant par la réduction de la ségrégation spatiale, le désenclavement des quartiers, le soutien au commerce de proximité et une meilleure prise en compte du développement économique dans les projets de rénovation urbaine.