a salué l'équilibre du rapport, notamment dans le jugement porté sur le bilan de la politique de la ville alors que des interrogations sur ce point avaient été émises au début de la mission. Elle a estimé que le rapport aurait pu accorder davantage de place à l'emploi, qui constitue le vrai problème de ces quartiers. Elle a considéré que les déplacements effectués sur le terrain n'avaient pas mis en évidence de problèmes d'employabilité. Elle a estimé que le rapport aurait pu accorder plus d'importance à l'économie sociale et solidaire et faire des propositions concernant l'accompagnement des créateurs de projets.
Elle a estimé, par ailleurs, qu'en matière institutionnelle il était préférable de privilégier le concret ainsi que la continuité des politiques menées. Evoquant la question de la péréquation financière, elle a regretté que le rapport n'évoque pas une refonte plus globale de la fiscalité locale, en remarquant que la DSU avait un impact marginal pour corriger les déséquilibres. Elle a, enfin, suggéré que la mission procède à l'audition du nouveau délégué interministériel à la ville.