a indiqué partager l'orientation générale des conclusions et des propositions présentées par le rapporteur, soulignant le besoin de continuité dans les politiques menées, notamment en matière d'éducation.
Il a reconnu, tout d'abord, qu'améliorer le cadre de vie était une priorité, et que les actions de rénovation urbaine contribuaient à transformer en profondeur les quartiers concernés. Il a estimé, ensuite, que l'éducation nationale ne méritait ni des critiques acerbes, ni des louanges d'autosatisfaction, dans la mesure où elle n'a pas réussi à assumer la massification. S'agissant des zones d'éducation prioritaires, il a souligné la nécessité de mieux recentrer les moyens sur les secteurs les plus fragiles.
Par ailleurs, il a exprimé son adhésion à une grande partie des remarques formulées par M. Thierry Repentin, qui rejoignent également les propos tenus par le rapporteur. Sans approuver, à titre personnel, la proposition du rapporteur concernant la Seine-Saint-Denis, il a reconnu que les problèmes spécifiques de ce département devaient être pris en compte dans chacune des politiques menées.