a précisé que Dassault Aviation envisageait, avant la crise, une délocalisation partielle de ses fabrications pour équilibrer ses coûts globaux, pour mieux maintenir l'activité des usines françaises. Aujourd'hui, le maintien de la production française constitue la priorité. Cependant, avec un taux moyen d'1,4 dollar pour un euro, l'aéronautique tant civile que militaire européenne est handicapée vis-à-vis de la production américaine. Ainsi, le dernier coût unitaire prévu pour le JSF est de 90 millions de dollars, à comparer aux 90 millions d'euros que coûte un Rafale.