Oui à la régulation, mais à la condition de ne pas la confier à des personnes qui n'ont jamais mis les pieds dans une entreprise de e-commerce. Prenez l'exemple du projet de la directive européenne « droit des consommateurs » : augmenter le taux de retour signifie mettre en péril toute une économie. Bel exemple du fossé entre les politiques et les entrepreneurs !