Si je ne partage pas votre avis sur la prospective, qui est un exercice primordial, je vous rejoins sur le problème plus général et très grave de la difficulté des entreprises françaises à se financer. La France aime tant les nains de jardin que ses entreprises, sitôt dépassé le seuil des 500 salariés, sont rachetées par des groupes étrangers ! L'un des fleurons français du logiciel, Ilog, a été racheté par IBM ; PriceMinister est dorénavant japonais. Résultat, le contribuable français a aidé à financer nos concurrents...