Au départ, nous étions une dizaine dans un bureau de fortune. Chaque jour, des visiteurs impromptus venaient pour acheter. Comme nous avions un petit local inemployé, nous avons eu l'idée de l'utiliser comme point retrait, puis, guidés par le comportement des consommateurs, nous avons ouvert des magasins de vente directe, où s'organisent aussi des démonstrations. Nous en comptons aujourd'hui 17, dont 8 en France. Il est vrai que c'est surtout dans l'Europe du sud, où le cash et la proximité physique comptent pour beaucoup, que la demande se fait sentir. Nous sommes leaders dans ces pays où les magasins constituent une part importante de notre chiffre d'affaires.