a fait valoir que la régulation de la concurrence ne relevait pas seulement de l'Union européenne mais aussi de l'Organisation mondiale du commerce. Il a souhaité une meilleure application de la loi de modernisation de l'économie, ce qui implique la mise en place d'une fonction de contrôle efficace et, le cas échéant, des sanctions contre les acteurs qui ne respectent pas les règles. Il a par ailleurs mis l'accent sur le fait que le coeur des difficultés de la filière laitière était celui d'une interprofession insuffisamment organisée, dans laquelle les producteurs ne sont pas en mesure de défendre leurs intérêts.