a rappelé que l'étude de faisabilité avait souligné des difficultés de diagnostic précoce et de mise en oeuvre des traitements thérapeutiques, qui se traduisent en pratique par des retards pour la prise en charge médicale dans un certain nombre d'endroits, et que l'étude commandée par l'Opeps sur ce sujet portait de façon prioritaire sur l'organisation de la prise en charge des personnes victimes d'un AVC, et non sur l'évaluation comparée des traitements thérapeutiques disponibles.