En tout état de cause, nous devons un rapport pour le premier semestre 2012. Nous allons essayer de vous apporter la réponse avant cette date. C'est toutefois d'une redoutable complexité. Il va falloir que je mobilise des compétences qui se trouvent dans d'autres directions du ministère. Je requiers donc un léger délai pour pouvoir vous répondre.
Quoi qu'il en soit, l'écart entre 8,5 milliards et 7,8 milliards d'euros n'est pas considérable, compte tenu du nombre de facteurs qui interviennent dans les éléments de détermination du surcoût d'une année qui additionne le coût du régime de croisière et qui prend en compte les éléments de coût afférents au précédent régime, qui viennent en extinction selon une vitesse que l'on est obligé de réévaluer. Je pense que nous en sommes relativement proches. Toutefois, une vingtaine de facteurs expliquent la différence entre les deux chiffres que l'on vient de mentionner.