C'était selon moi nécessaire que les médias reconnaissent l'utilité de la commission avant de s'inscrire dans une démarche d'autorégulation. Ce qui m'intéresse, c'est de changer les mentalités, et cela passe davantage par la conviction que par la contrainte. Par ailleurs, les dispositifs législatifs existent déjà et la première proposition de notre rapport était donc de pérenniser la commission sur l'image des femmes dans les médias afin qu'elle assure le suivi de l'autorégulation.