a souligné que le débat revient toujours à la question du rôle de l'État dans les fonctions d'orientation. Pourtant, l'État doit fédérer, connecter et travailler de façon transversale. Au bout d'un an, il sera toujours temps de juger de l'implication des régions dans le dispositif. Il s'agit de laisser des marges de souplesse.