a considéré que la France devait conserver une partie de l'offre de formation en dehors de la logique du marché, notamment celle consacrée à l'insertion des personnes en difficulté. S'agissant du RSA, elle a estimé que sa généralisation pourrait entraîner une augmentation de la pauvreté du fait du risque d'augmentation des temps partiels subis, et qu'il fallait donc conditionner sa mise en place à un système de bonus/malus pour les entreprises utilisant le temps partiel.