a ensuite remarqué que les structures d'accueil gérées par le CASP étaient exploitées au maximum et que pour une place d'hébergement proposée, 80 demandes étaient formulées en moyenne. Il a regretté à ce titre que l'objectif du Plan d'action renforcé en direction des personnes sans abri (PARSA) visant à la transformation de places d'hébergement d'urgence en places en Centres d'hébergement et de réinsertion sociale (CHRS) et en places d'hébergement de stabilisation, n'ait pas été atteint. Afin de maintenir le principe de continuité dans la prise en charge des personnes sans-abri, il a estimé que la priorité devait être le financement rapide de nouveaux « logements PLAI » (prêt locatif aidé d'intégration), qui pourrait entraîner un appel d'air permettant de vider les lieux d'hébergement d'urgence.