a estimé que la coopération avec les Etats voisins des collectivités ultramarines devait être privilégiée, suggérant la mise en place d'une véritable politique d'aide technique permettant d'envoyer des volontaires dans ces pays afin d'y développer certains équipements ou d'y apporter des formations. Il a jugé que cette démarche permettrait d'endiguer la dégradation du tissu social dans ces Etats tout en estimant que l'aide apportée par la France ne devait pas nécessairement transiter par les gouvernements de ces Etats.