a précisé que l'expérience du rendez-vous de retour était menée dans une dizaine de postes exposés à des risques migratoires élevés. Il a indiqué que la procédure, assez lourde, ne concernait qu'un public ciblé et qu'il était procédé à un signalement des personnes dont le retour n'avait pu être vérifié.
Notant que certaines catégories de visas, notamment les visas de circulation, ne se prêtaient pas à ce type de contrôle, il a précisé que l'éventuelle extension de l'expérience dépendrait du bilan qui pourra en être dressé.