a répondu que l'opinion majoritaire au Parlement européen était que l'UEO se réduisait uniquement, aujourd'hui, à son assemblée parlementaire, le maintien de cette dernière apparaissant de ce fait peu compréhensible. Il a appuyé le souhait d'une meilleure coordination entre les institutions européennes et le Conseil de l'Europe, soulignant que ce dernier était utile, par exemple pour les relations avec la Russie qui y participe et qui a souscrit plusieurs instruments juridiques. S'agissant de l'Iran, il a estimé que les capacités d'enrichissement d'uranium n'avaient pas véritablement de justification civile, Téhéran développant, par ailleurs, un programme de missiles balistiques. Il a jugé que la menace d'un Iran possédant des capacités nucléaires militaires pourrait se concrétiser d'ici quelques années.