a estimé que :
- s'agissant du passage à l'autonomie, il convenait de privilégier le qualitatif sur le quantitatif en n'accompagnant, dans un premier temps, qu'une dizaine d'universités afin de garantir le succès de cette transition ;
- l'AERES ne procéderait pas à l'évaluation individuelles des personnels, son rôle étant d'évaluer les établissements ;
- les universités avaient intérêt à développer leurs systèmes d'information, notamment en matière d'information professionnelle, un manque de réactivité pouvant dorénavant se traduire par un manque à gagner financier dans le cadre de la réforme du financement des universités ;
- les écoles doctorales ne pouvaient pas être des « satellites » de certaines unités de recherche, les universités devant à cet égard s'attacher à faire exister pleinement ces écoles ;
- la dualité française présentait à la fois des inconvénients et des avantages dont il convenait de tirer profit, notamment à travers la mise en place des pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES), qui devaient être des lieux de coopération entre grandes écoles et universités.