lui a apporté les éléments de réponse suivants :
- la valorisation des actions de partage du savoir scientifique avec la société civile n'a pas été initialement retenue parmi les critères. Elle a cependant été mentionnée à plusieurs reprises dans les rapports et sera désormais prise en compte pour les prochaines évaluations ;
- il est très intéressant de tenir compte des recherches transversales mais il est difficile, en revanche, d'identifier les experts compétents pour les évaluer ;
- les services universitaires de gestion du patrimoine immobilier sont « squelettiques » et il est heureux que cette prise de compétence soit optionnelle ;
- le coût d'une dépollution peut effectivement être très élevé, notamment en ce qui concerne le désamiantage ;
- l'adaptation des universités à la crise énergétique est difficile à évaluer mais le simple fait d'afficher sa prise en considération peut avoir un effet pédagogique ;
- pour ce qui concerne les publications, l'ensemble des signatures sont prises en compte. Les revues scientifiques tendent cependant, elles-mêmes, à limiter leur nombre aux réels contributeurs.