a relevé que la réussite et l'insertion professionnelle des étudiants dépendaient beaucoup des relations de leur université avec le monde socio-économique. Il a estimé que, seules, une dizaine d'universités avaient une politique internationale et que tel était surtout le cas des universités ayant une forte politique de recherche.
Il a souligné que le manque d'attractivité de la France pour les étudiants étrangers tenait surtout à :
- une insuffisante promotion de notre système d'enseignement supérieur et de recherche ;
- un accueil trop partiel des étudiants étrangers ;
- un problème de reconnaissance mutuelle des diplômes, qui doit conduire à développer des cotutelles de thèse.
Présidence de M. Jacques Valade, président, puis de M. Jacques Legendre, vice-président. -