a dénoncé à son tour l'intervention des médias. Celle-ci alimente une psychose aux Antilles, alors qu'en réalité la situation reste finalement mal connue. Il a déclaré partager les propos tenus par Mme Roselyne Bachelot-Narquin faisant état des multiples incertitudes qui demeurent sur les conséquences de l'utilisation du chlordécone. Il a souhaité que, lorsque les résultats des différentes études en cours seront connus, la transparence des autorités sanitaires soit totale et que les élus locaux soient incités à relayer les informations sur le terrain.