Monsieur le rapporteur général, est-ce par souci d'autres corporatismes que vous n'avez pas évoqué le rapport de l'inspection générale des finances sur les niches fiscales et sociales ? Si toutes étaient frappées, la mesure serait peut-être mieux acceptée.
Monsieur le président, s'agissant du défaut de la Grèce, pourquoi ne pas envisager une chirurgie lourde qui consisterait à baisser la valeur de l'euro ? Ce serait bénéfique à notre commerce extérieur face à une Chine dont le yuan, d'après les économistes, devrait être évalué à 0,21 euro plutôt qu'à 0,11.
Pour finir, certains ont poussé des cris d'orfraie lorsque nous n'avons pas respecté les critères de Maastricht par facilité. J'en faisais partie...