Relevant que les entreprises allemandes proposaient des matériaux concurrentiels pour la fabrication de maisons à énergie passive, Mme Évelyne Didier s'est demandé pour quelles raisons les entreprises françaises semblaient moins performantes. Regrettant que les rapports sociaux et environnementaux des entreprises relèvent davantage de la communication que d'un réel bilan objectif, elle a questionné l'intervenant sur la capacité des entrepreneurs à concilier des impératifs de rentabilité, à court terme, et d'investissement dans le développement durable, à plus long terme.