A l'issue de cet exposé, M. Gérard Bailly, après avoir jugé positif que les organisations syndicales s'estiment concernées par les problèmes internationaux, a demandé si des accords entre multinationales et fédérations syndicales internationales avaient déjà été formalisés, quel était le sentiment du secrétaire général face aux décisions de restructuration de sites encore apparemment rentables prises par des entreprises pour anticiper les difficultés et ne pas compromettre l'avenir, et quelle était sa position quant à la participation des salariés au capital de leur entreprise.