Je crois que ce sentiment d'optimisme est la meilleure conclusion que nous pouvons tirer de nos échanges. L'exercice engagé n'est pas simple ; l'État doit nous aider à le conduire en précisant bien les règles du jeu, aussi bien juridiques que financières. Je pense qu'il y a une réelle aspiration des élus à l'achèvement de la carte intercommunale. Évidemment, nous n'atteindrons pas la perfection, mais nous avons la chance de pouvoir marquer une étape, une étape importante comme on en franchit rarement dans l'histoire de l'intercommunalité et qui constituera un grand pas dans le maintien de notre tissu communal.