a indiqué que les visas Schengen représentaient un vaste champ possible de coopération. Il a précisé que la France pouvait assumer au titre de la solidarité communautaire une part prépondérante des visas Schengen dans certains pays, et que ceci devait inciter à la mutualisation des moyens avec les autres Etats européens. S'agissant de la multiplicité des systèmes informatiques dans les postes à l'étranger, il a jugé que le décret de 1979 sur les pouvoirs des ambassadeurs n'avait pas trouvé de traduction en matière informatique.
A titre purement personnel, il a exprimé des réserves sur le vote électronique, hors utilisation dans le cadre professionnel, rappelant son coût, en raison des contraintes de sécurité, le tout pour un impact faible sur la participation électorale.