a souligné que l'enseignement professionnel tout comme l'enseignement agricole bénéficiaient de spécificités qui étaient, selon la commission qu'il avait présidée, de bonnes pratiques, telles que l'exercice de la bivalence ou la concertation avec le monde économique extérieur. Malgré la difficulté de traiter de manière équivalente l'enseignement du premier degré et l'enseignement du second degré, le rapport présente un certain nombre de mesures concernant l'enseignement primaire. Il a partagé l'avis de Mme Brigitte Gonthier-Maurin concernant les inquiétudes suscitées par la succession des réformes concernant un corps de métier possédant une forte identité professionnelle.