Il est bon de s'interroger sur les raisons pour lesquelles les femmes sont assez peu portées vers le métier d'entraîneure. Nous avons constitué des formations spécifiques, mais sans pour autant les interdire aux hommes afin de ne pas dévaloriser ces parcours en laissant penser qu'ils ne seraient que de simples mises à niveau... Refusant les ghettos, notre logique est volontariste : nous nous gardons de considérer les femmes comme des victimes.