M. le président Claude Birraux. Des voix s'élèvent toutefois pour critiquer l'omniprésence des mathématiques dans l'enseignement secondaire et leur fonction de filtre, voire de guillotine dans un certain nombre de concours : il est demandé aux candidats d'avoir un niveau suffisant dans cette matière, même s'ils ne seront plus amenés à la pratiquer par la suite. Comment voyez-vous l'avenir, alors qu'il est question de réforme du secondaire et des mathématiques ?