est intervenu sur ce point pour rappeler la nécessité d'une solidarité au niveau national et pour indiquer que les franchises d'assurances étaient toujours possibles pour les agriculteurs s'estimant relativement moins sujets aux risques liés à la récolte.
Il a précisé que le rapport de M. Dominique Mortemousque n'était pas présenté au nom de la commission, qui ne pouvait donc l'amender, et qu'il incombait à son auteur de décider de la manière dont les débats ouverts par sa communication pourraient être portés à l'attention du Premier ministre.