a souligné tout l'intérêt qu'il y avait à renforcer les connaissances sur l'état des sols, évoquant l'exemple du département de l'Aisne qui, il y a 25 ans, a procédé à la cartographie systématique de la qualité pédologique de ses sols.
Il a relevé que les risques de contamination des sols constituaient une vraie menace pour l'activité agricole en rappelant les exigences des industries agroalimentaires à ce sujet et s'est montré très réservé sur les obligations fixées par la proposition de directive s'agissant des mesures à adopter par les Etats membres.