Jugeant qu'il s'agissait d'un tout autre débat, M. Jean-Paul Emorine, président, a indiqué qu'il était possible, à condition d'indemniser propriétaires et exploitants, de délimiter des périmètres de protection à l'intérieur desquels la culture du maïs est interdite. Il a ajouté que le maintien de prairies en herbe constituait le meilleur filtre de protection pour les nappes phréatiques.