évoquant les propos récents d'Angela Merkel selon lesquels l'Allemagne ne souhaite pas l'ouverture d'une discussion sur des adaptations institutionnelles de l'Union européenne dans le cadre des traités existants, a salué le bon fonctionnement du couple franco-allemand, tout en souhaitant qu'il permette un réel progrès de l'Europe. Soulignant que la possibilité du choix d'une seconde langue avait permis de faire progresser l'enseignement de l'allemand en France, elle s'est interrogée sur l'évolution de l'enseignement du français en Allemagne. Elle a fait état des inquiétudes suscitées, en France, également, par les déclarations du Président de la République sur le nucléaire et a considéré que la lutte contre le terrorisme et la prolifération devaient s'effectuer dans le cadre d'engagements internationaux, notamment du traité de non prolifération.