a reconnu le caractère irrationnel des procédures actuelles. Il a précisé qu'un effort général de clarification des compétences entre la DIV, l'ANRU, l'ACSé et l'EPARECA (Etablissement Public National d'Aménagement et de Restructuration des Espaces Commerciaux et Artisanaux) était en cours. Il a indiqué que la DIV continuerait à gérer les crédits des collectivités ultra-marines, ainsi qu'une partie des dotations destinées à des expérimentations, qui représentent au plus 2 % des crédits spécifiques.