a distingué les crédits de l'ancien FIV, qui sont attribués en fonction des difficultés supposées des territoires, des crédits des dispositifs « en développement » qui sont distribués en fonction des réponses aux appels à projets.
Il a souligné que depuis 2006, l'Etat avait maintenu le niveau global des crédits, conscient du besoin de stabilité des acteurs de la politique de la ville.