a considéré que le contrôle des associations pouvait également s'exercer au niveau local et qu'il dépendait, alors, de la qualité des équipes de maîtrise d'oeuvre urbaine et sociale (MOUS) des collectivités territoriales. Il a estimé que l'Etat devait « faire confiance » au niveau local, spécialement dans un domaine où l'initiative vient essentiellement du « terrain ». Il a cité, à cet égard, les exemples des travailleurs sociaux dans les commissariats et les points d'accès au droit.