a rappelé que les préfets étaient ordonnateurs secondaires de l'ACSé et qu'une partie infime des crédits était gérée depuis Paris. Il a indiqué que la mutualisation des crédits et de leur gestion entre l'Etat et les collectivités territoriales était possible dans le cadre de groupement d'intérêt public, mais que cette faculté était peu utilisée.