Nous ne l'avons jamais fait, et d'abord parce qu'il est traité par le ministère et que l'Agence française est très efficace. Les enjeux financiers sont moindres dans le sport féminin : il y a deux fois moins de disciplines avec des sportives professionnelles. Le dopage est donc moindre. Personne n'entend parler du Tour de France féminin. Apprenant la suppression d'une compétition cycliste féminine, nous avons sorti le carton rouge en observant qu'il n'y aurait bientôt plus d'épreuves pour les femmes dans cette discipline.
Le sujet n'est pas prioritaire pour nous ; il nous semble plus important d'augmenter la participation des femmes aux instances dirigeantes pour que ces problèmes soient abordés plus fréquemment et plus systématiquement.