s'est demandé si le problème des sans-abri ne devrait pas faire l'objet d'un traitement européen et si l'on ne pouvait pas envisager une contrainte légale de prise en charge afin de ne plus tolérer qu'ils restent dans la rue. Regrettant le manque de connaissances relatives aux parcours résidentiels des personnes à la recherche de logement, il a souhaité que le nouvel observatoire puisse recueillir des données dans ce domaine. Enfin, il s'est inquiété des conflits de compétences qui pourraient résulter de la création d'un « super-préfet » délégué à l'hébergement et au logement, celui-ci risquant d'entrer en concurrence avec le ministre du logement et de la ville.