a indiqué que la situation était différente selon les régions, certaines d'entre elles ayant chargé une conseillère régionale, ayant éventuellement rang de vice-présidente, de la question des droits des femmes, de l'égalité ou encore de la lutte contre les discriminations. Elle a précisé qu'au total, une dizaine de régions sur 22 prenaient maintenant en compte la problématique de l'égalité entre les hommes et les femmes, via ce type de nomination.