se basant sur les résultats d'une étude réalisée par l'ARF en 2005, a indiqué que les femmes ne s'estimaient pas suffisamment préparées à l'exercice de fonctions électives et qu'elles se considéraient généralement moins compétentes que les hommes. Elle a toutefois estimé que les femmes politiques ne présentaient pas de faiblesses particulières et qu'elles se rendaient compte très rapidement que les principales décisions se prenaient au sein des exécutifs et qu'il fallait donc être au sein de ces instances décisionnelles pour pouvoir faire avancer les choses.