a estimé que les victimes de l'amiante avaient besoin, d'une part, d'un régime de préretraite spécifique et d'une véritable indemnisation, et, d'autre part, de voir toutes les responsabilités établies. Elle a indiqué qu'elle serait « choquée » qu'on revienne sur les modalités de fonctionnement du FCAATA et a évoqué la possibilité de créer une taxe spécifique à la charge des entreprises pour en assurer le financement. S'agissant du FIVA, elle s'est déclarée favorable à la mise en place d'une répartition stable entre la sécurité sociale et l'Etat, à hauteur de la responsabilité respective des employeurs et des pouvoirs publics dans le drame de l'amiante.