a estimé vaine toute réglementation dépourvue de moyens de contrôle. Elle a jugé que l'action de l'inspection du travail était largement décrédibilisée par les déclarations du gouvernement sur le code du travail. Elle a rappelé qu'elle avait augmenté les effectifs de l'inspection du travail lorsqu'elle était ministre, mais qu'il faudrait encore créer 700 postes supplémentaires pour se situer dans la moyenne européenne. Relevant que le statut des médecins du travail les place dans une situation de subordination par rapport à leur employeur, elle a évoqué la possibilité d'une gestion interprofessionnelle de ce corps.