a considéré que si les parlementaires étaient favorables au principe de la maîtrise des dépenses publiques, ils l'étaient souvent moins aux mesures concrètes qui pouvaient être proposées à cette fin. Il a estimé que le Parlement devait être mieux informé sur le coût des exonérations fiscales, tant en prévision qu'en exécution. Il s'est demandé si la France pouvait s'inspirer de la consolidation budgétaire effectuée par la Nouvelle-Zélande de 2000 à 2003. Il a considéré que certaines réglementations, un nombre excessif de communes, et les mauvaises conditions de développement de l'intercommunalité, suscitaient des dépenses publiques inutiles. Il a en outre craint que l'euro ne soit durablement surévalué. Il a parlé d'une « économie de rentiers ».