a fait part de l'inquiétude de l'ensemble des structures du spectacle vivant, en raison du gel annoncé de 6 % des subventions, alors même que les dépenses sont déjà engagées compte tenu des délais nécessaires à la préparation des saisons artistiques. Il s'est déclaré préoccupé par les vrais problèmes que connaîtra ce secteur en 2008 et par les difficultés que rencontreront les directions générales de l'action culturelle (DRAC) pour « gérer la pénurie localement ». Dans ces conditions, il a souhaité que l'aliénabilité des oeuvres d'art n'apparaisse pas comme une possible solution financière.