s'est ensuite interrogé sur la capacité du gaz à être une énergie durable, relevant que si, à l'avenir, le CCG, utilisé aujourd'hui pour satisfaire les besoins de pointe, l'était demain pour répondre à la demande en base, trois problèmes résultant d'une consommation croissante se profilaient : celui des réserves de gaz, dont le temps d'exploitation pourrait se réduire plus rapidement que prévu, celui du coût de la filière, puisque le prix du gaz s'accroîtrait, et enfin celui de la dépendance énergétique à l'égard des producteurs, avec des conséquences géostratégiques extrêmement importantes au regard de la situation et de l'importance des pays en cause.