Reconnaissant qu'il serait dangereux de miser de façon exclusive sur le gaz, qui est aujourd'hui un produit totalement importé, M. Olivier Lecointe a fait valoir que la part du gaz dans la production d'électricité en France demeure faible et qu'en raison de la diversité des sources d'approvisionnement, ce à quoi veille GDF, il n'existe pas de risques de pénurie, ni de réels risques géopolitiques. Estimant que cette énergie primaire avait toute sa place pour répondre à la demande d'électricité en période de pointe et de semi-base, il a indiqué que si les réserves de gaz étaient plus limitées que celles de charbon, elles étaient cependant plus importantes que celles de pétrole.