a relevé que les groupes politiques restaient divisés sur l'évolution du dossier, lequel mérite un grand débat national afin de mettre fin aux incompréhensions et d'atteindre un résultat positif pour l'ensemble des secteurs culturels concernés : la musique, mais aussi l'audiovisuel et le cinéma, ce dernier secteur étant fragile.
Il a regretté que l'ensemble du problème n'ait pas été repensé après le texte dit « Hadopi I », à travers le lancement d'un débat national pour la défense des droits d'auteur.