Il est question, dans la première page de l'introduction du rapport, des économies de l'Union ouvertes « à tous les vents mauvais de la mondialisation ». La formule est déplaisante, comme l'est celle qui dit l'aluminium de la vallée de la Maurienne placé « sous tutelle » de l'étranger. Je tempère par une note positive, page 37, où l'on lit que notre industrie « crée de la valeur » et est « victime de ses performances » : il serait bon de mettre cela en gras, pour montrer à nos industriels que l'on valorise leur métier.