Je n'entends pas tirer à vue sur EADS ou Airbus, mais la question est emblématique de la distance qui sépare ceux qui militent pour l'interventionnisme, au sens le plus noble du terme, de ceux qui, au mieux, sont pour le laisser-faire, au pire, ne voient rien à redire à une politique du chien crevé au fil de l'eau.